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Observatoire de la théorie du Genre
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Actualités

  • 9
    avr

    La théorie du genre, ennemie du genre humain

    On n’en est plus à une absurdité près. Non content que la théorie du genre fleurisse dans les manuels scolaires, le gouvernement veut maintenant l’imposer à la crèche. Une initiative de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes qui a confié une étude à l’Inspection générale des affaires sociales, publiée ce mardi 26 mars. Je vous explique.

    À la naissance, les parents, en bons terroristes intellectuels, choisissent un sexe à leur enfant. Comme celui-ci ne peut pas s’exprimer dans le placenta maternel, notre bébé ne dit rien, mais n’en pense pas moins. Viennent alors les premières années de sa vie, où l’enfant découvre qu’il n’y a aucune différence entre son papa et sa maman.

    Lorsque les parents l’inscrivent à la crèche, le chérubin peut alors décider que le changement, c’est maintenant : au placard, les petites voitures pour les garçons et les poupées pour les filles !

    Pour inhiber les préjugés déjà machistes du petit garçon, on lui apprendra que l’attribution des jouets est une pure construction de l’esprit, un hobby pour snobinards réactionnaires qui exorcisent leurs fantasmes jamais assouvis de jouer au soldat. Une petite fille, déjà soumise parce que fille, va pouvoir se libérer de l’emprise de la nature. Ce plus grand dictateur de l’univers (devant Staline) l’empêchait de jouer à Stallone ? Qu’elle garde un esprit sain dans un corps sans seins : ce n’est tout de même pas son genre féminin qui va décider le genre d’homme qu’elle deviendra !

    L’homme que la nature a créé sur terre, la « culture » peut le changer en mère.

    L’enfant doit alors s’accrocher (pas au sein de sa mère, c’est avilissant pour elle). Sa scolarité entamée, on lui apprend très tôt… l’échangisme, mais avec lui-même. Ou comment modifier sa nature et son identité sexuelles au gré de ses envies. Et elles peuvent être pressantes. Dans les manuels d’école, il doit décoller son esprit des préjugés acquis de manière innée, et rejeter dans un cul de basse-fosse cette fosse d’idées reçues pour sceptiques de la liberté humaine. Virilité, féminité sont autant de termes qu’il lui faut bannir de son vocabulaire usuel : ils rappellent les heures les plus sombres de notre histoire, quand on ne pouvait pas choisir ce qu’on voulait avoir entre les jambes.

    L’entrejambe, ne servant plus à rien, reste donc dans un entre-deux optimiste qui fera voir à l’enfant la vie en rose… ou en bleu. Ah non, ça non plus il ne pourra pas : quelle curieuse pensée que d’associer les couleurs vestimentaires au sexe de l’enfant !

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