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Observatoire de la théorie du Genre
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sur la theorie du genre.

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Presse

  • 30
    jui

    Réaction suite au retrait des ABCD égalité - Entre satisfaction et extrême vigilance.

    L’Observatoire de la théorie du genre et l’UNI se félicitent du retrait annoncé des ABCD égalité. Ce recul du gouvernement est la récompense de plusieurs mois de mobilisation : plus de 300 000 personnes avaient signé notre pétition demandant au gouvernement de mettre fin à l’expérimentation des ABCD de l’égalité.

    Ce programme, qui s’inspire de la théorie du genre, des thèses des militantes féministes les plus radicales et des principes de « l’éducation neutre  » telle qu’elle se pratique dans certaines crèches en Suède, vise à « déconstruire les stéréotypes de genre » dès le plus jeune âge.

    Ce programme repose sur une idéologie qui confond l’égalité avec l’indifférenciation. Ce n’est pas en niant les différences qui existent entre les garçons et les filles (les filles sont par exemple plus précoces pour certains apprentissages) que l’on améliorera l’égalité entre les sexes.

    D’ailleurs, en Finlande et en Suède, pays qui servent de modèles aux politiques mises en place par le gouvernement français, les inégalités entre filles et garçons se creusent. Preuve de l’inefficacité de ces politiques. (Cf. note de l’observatoire )

    Extrême vigilance

    L’UNI et l’Observatoire de la théorie du genre restent, malgré cela, extrêmement vigilants. En effet, le risque, que certains des « concepts » issus des ABCD se retrouvent dans les futurs programmes scolaires et/ou dans la formation des futurs enseignants, est très important.

    C’est pourquoi, l’UNI va lancer, dans les prochains jours, un Observatoire des programmes scolaires qui veillera notamment à ce que le gouvernement ait bien tourné la page des ABCD, si tel n’était pas le cas, de nouvelles mobilisations seraient lancées dès la rentrée.

    L’enseignement de l’égalité homme/femme à l’école doit-être une éducation au respect et non à la négation des différences, comme le gouvernement tend trop souvent à le faire.

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